On ne la voit pas mais, sur la photo aérienne de 2018, il s’agit d’une maison individuelle entourée d’un grand jardin.

Le long du grillage, une haie d’arbustes locaux protège des regards. Elle s’intègre bien dans l’environnement naturel du lieu.

Mais les nouvelles constructions suppriment petit à petit les espaces naturels ou agricoles utiles aux animaux comme aux humains. C’est ce qu’on appelle l’étalement urbain*.

Que fait le Parc naturel dans ce domaine ?

Il étudie avec les communes les espaces constructibles à l’intérieur des villages.

On observe peu de changements. Pourtant, d’autres manières de jardiner peuvent être plus favorables à la biodiversité.

● Une haie libre* composée d’arbustes variés et locaux accueille les insectes qui se nourrissent de ses fleurs. Les oiseaux y construisent leur nid et les petits mammifères y trouvent refuge.

● La clôture gêne le passage de la petite faune, comme les hérissons, par exemple. Elle n’est pas indispensable puisqu’une haie marque déjà la limite de propriété.

● La pelouse pourrait ne couvrir qu’une partie du jardin. Une prairie fleurie, une zone plus sauvage sont autant de refuges pour les animaux.

Que fait le Parc naturel dans ce domaine ?

Le Parc sensibilise les particuliers au jardinage écologique par des formations et des guides pratiques.